Grand oui pour des grands noms !

Cette année, mon fil rouge était « Les grands noms qui ont marqué l’histoire« , de Vercingétorix à Thomas Pesquet. Thème passionnant mais tellement impossible à traiter dans sa totalité. Et oui, vous allez me dire les personnages il en existe des tonnes, plein de gens illustres, dont la renommée n’est plus à démontrer. Si vous demandez aux élèves de citer des stars hyper célèbres, ils vous en trouveront aussi. J’ai d’ailleurs débuté comme ça, dès le jour de la rentrée, et je dois avouer qu’ils m’ont surprise. Je ne m’attendais pas à certaines de leurs réponses : Mickael Jackson ou la reine d’Angleterre, j’avais pas anticipé. Mais après tout, ils entrent quand même dans la définition même de la célébrité : « réputation qui s’étend au loin ». Néanmoins, j’ai choisi de sélectionner un nombre limité de personnages afin de ne pas trop s’éparpiller. J’ai réfléchi à ceux que j’allais travailler au cours de l’année et pour ce faire j’ai analysé les programmes, en particulier en histoire. Par la suite, je suis également partie en quête d’ouvrages qui s’intéressaient à des personnages de diverses périodes historiques. En faisant un mix de tout, je suis parvenue à une liste de personnages variées : artistes, explorateurs, scientifiques, militants, empereurs, auteurs… Des noms anciens ou plus récents, des visages plus connus que d’autres, des vocations multiples susceptibles d’éveiller la curiosité de mes loulous. Et pour une première dans le milieu des stars, succès assuré : grosse réussite ! Les élèves sont emballés et vraiment désireux d’en savoir plus… J’ai même envie de dire, sans exagérer, que souvent ils en redemandent. Pas pour tous les personnages qu’on découvre mais en fonction de leurs intérêts personnels, les élèves posent beaucoup de questions. Par exemple, certains aiment une période historique en particulier et s’intéressent donc aux personnages s’y rapportant : l’un de mes petits est passionné par les guerres mondiales et a donc lu pas mal de choses sur Jean Moulin, alors que d’autres préfèrent Joséphine Baker, du fait des idées véhiculées. Une autre, adorant les Nanas de Niki de Saint Phalle, s’est davantage pensée sur cette artiste engagée. Vous l’aurez compris ce thème est particulièrement idéal pour raccrocher toutes les p’tites têtes d’une classe, à un moment donné. Mais, c’est aussi assez stressant car bon on a beau être enseignant, on ne sait pas tout sur tout, ou tous : je ne maîtrise pas la vie de ces personnages sur le bout des doigts, j’en connais plus certains que d’autres. C’est parfois même les élèves qui développent ma culture G personnelle : quand ils m’ont parlé d’Akira Toriyama, célèbre auteur du manga Dragon Ball, j’avoue qu’ils étaient au taquet et heureux de me transmettre toutes ces infos. J’ai beaucoup apprécié aussi leur montrer qu’on sait tous quelque chose sur quelqu’un à un moment donné. Donc, vous l’aurez compris, thème complet mais jamais fini et loin d’être exhaustif. Faut clairement accepter de pas pouvoir tout aborder…sur une année scolaire, impossible et illusoire ! Alors, pour ce que j’ai choisi, pour la manière dont j’ai abordé une partie de ce thème aux ressources inépuisables, je vous encourage à poursuivre votre lecture…

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Fixation béton !

Le vocabulaire j’adore ça : je sais pas si je le fais de la bonne manière mais j’aime faire découvrir les régularités qui existent entre les mots. Si vous me suivez, vous connaissez ma passion pour les étiquettes lexicales conçus au fil du temps et affichées progressivement quand leur heure est venue. Si vous ne savez pas de quoi je parle, c’est ici (j’alimente l’article souvent !) ! Mais, faut quand même bien avouer qu’il y a des apprentissages qu’on ne sait pas de quelle façon mener, ou comment les mettre en forme pour que les élèves comprennent bien. C’est notamment le cas, souvent, en vocabulaire : en effet, c’est un domaine bien transversal, avec des tonnes de mots à découvrir, comprendre, analyser etc… On nous dit de ne pas proposer de séances spécifiques dans ce domaine, mais un peu quand même : bref, on n’est pas aidé, alors que développer son stock de mots et en mémoriser de nouveaux, c’est un peu la base de plein d’autres choses. Pour ma part, je ne fais jamais de séance spécifique car c’est pas forcément efficace à mon sens : mais, ça ne nous empêche pas de jouer beaucoup avec les mots quand même ! Moment bonheur : je trouve d’ailleurs que mes élèves sont de plus en plus efficaces et perspicaces. Ils aiment découvrir des mots qu’ils n’avaient jamais entendus, comme observer ceux qu’ils connaissent déjà. Beaucoup sont passionnés par la recherche dans le dico ! Ils sont aussi très doués pour trouver des contraires, entendre des homophones ou associer des synonymes. Mais, cette année, j’ai dû me pencher sur des nouveautés moi aussi : vive les nouveaux programmes méconnus du CM, où on va un peu plus loin hein, oui oui ! Découverte de notions donc, tel que préfixes et suffixes. Fallait donc bien réfléchir à comment fixer tout ça, justement ! Par le biais de ces petites choses, on entre vraiment dans la construction des mots et le sens qui leur est propre. Du coup, maintenant qu’ils ont découverts ces bestioles, fixées par ci par là, ils sont sans cesse en train de donner des mots qui en contiennent, devant ou derrière. Mais, faut bien admettre, quand même, qu’il y en a qui sont plus faciles que d’autres et bien plus fréquents.

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C’est M… HM 1.

Choisir une méthode c’est un peu comme une bonne recette : quand on y a goûté, on a du mal à en changer pour faire autrement ! Bon, drôle de comparaison pour la non cuisinière que je suis… mais j’ai pas trouvé mieux ! Bref, c’est pareil pour les maths : j’ai choisi la méthode que je connaissais bien et qui me convenait plutôt bien aussi, la méthode heuristique. Testée et approuvée en CE2, j’ai replongé, tête baissée, dans le grand bain pour le CM1. Et puis, comme je gardais ma cohorte d’élèves une seconde année, c’est assez logique de poursuivre dans la même lancée. Je n’avais jamais eu de cycle 3 du coup il me fallait déjà me mettre à jour niveau contenu, je pouvais pas repartir à zéro pour tout : comme je connais le fonctionnement un peu spécifique de la MHM, c’est plus efficace. Et puis, même en CM, j’adhère encore à tout ça ! Un peu de calcul mental, des activités ritualisées et une phase d’apprentissage ou d’ateliers… ça fait un peu fouillis dit comme ça, mais c’est très efficace de faire un peu de tout chaque jour. Notamment la géométrie et les mesures, qui sont souvent les domaines qui passent un peu en second plan par manque de temps.

Loin de moi l’idée de présenter la méthode… beaucoup la connaissent maintenant et d’autres PE bien plus doués que moi pour lire entre les lignes ont déjà proposé leurs notes de lecture ou une analyse plus poussée. De plus, j’ai déjà donné un avis personnel dans un autre article : vous y trouverez également les fichiers, déjà réalisés pour le CE2. Si ça vous intéresse, c’est ici !

Pour autant, même si j’aime beaucoup les séances menées, variées et différentes chaque jour, cette méthode a un p’tit hic (rien ni personne n’est parfait, ça va de soi !) selon moi : le nombre conséquent de supports différents… En effet, j’ai parfois du mal à me retrouver entre les exercices, les mini-fichiers, les documents servant à la recherche, les chronomaths, les activités sur ardoise etc… C’est pourquoi, j’ai opté pour un seul et même outil à destination des élèves, dans lequel tout est à disposition. Lors des séances en classe, je parviens ainsi à m’y retrouver davantage : sur mes préparations, je sais ce qui doit être mené à l’oral ou ce qui sera fait à l’écrit, dans leur fichier individuel. Plus besoin donc de faire des petits tas de feuilles à distribuer au fil des différents temps de la séance. Gagner en efficacité et ne pas perdre de temps, c’est le but ultime (bah quoi faut bien réussir à finir le programme non ?!).

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Balle aux centres !

J’ai toujours aimé l’idée des centres d’autonomie : on les voit un peu partout et de plus en plus alors forcément, ça donne envie de se lancer. Mais, de quelle manière commencer ? Comment les mettre en place ? Lesquels sélectionner pour débuter ? Les questions sont nombreuses et souvent sans réponse concrète. J’aime cette idée de choix proposés aux élèves, qu’ils doivent effectuer en fonction de leurs besoins dans tel domaine, pour consolider, approfondir ou découvrir une notion. Pourtant, niveau mise en oeuvre, c’est autre chose… dur, dur de se lancer tête baissée. J’ai donc tenté une autre approche pour commencer à apprivoiser ces fameux centres. L’idée est de les faire découvrir aux élèves sur un temps précis, pour le moment du moins, afin qu’ils se les approprient et puissent choisir ce qu’ils vont y faire. Car, c’est bien ça l’intérêt : faire en sorte que chacun se dirige vers un centre pour avancer et travailler à son rythme, selon les compétences visées par l’enseignant. Pour ma phase de démarrage, j’ai donc opté pour quatre centres que je propose lors du temps d’accueil de l’après-midi : les élèves arrivent en classe de manière échelonnée et s’inscrivent eux-mêmes dans l’un de ces centres. La seule contrainte pour l’instant est de changer de centre chaque jour, soit un centre par jour. En effet, j’ai remarqué qu’un centre attirait un grand nombre d’élèves, ce qui était un peu difficile à gérer au niveau de l’espace, du rangement, du bruit et de l’excitation générée. Ainsi, ils peuvent désormais y aller une seule fois au cours de la semaine. Pour les rotations, cela fonctionne grâce aux inscriptions dans un centre : c’est un peu « premier arrivé, premier servi » ! Les élèves, un à un, aimante leur étiquette-prénom dans une des colonnes du tableau accroché dans la classe. Sur celui-ci figurent le nom des centres et un nombre limité de places. Ainsi, cela évite également les choix par affinités, pour suivre son copain… Pour le moment, je suis satisfaite de cette organisation, qui semble aussi convenir aux élèves : ils semblent vraiment apprécier ce temps, qui jusque-là était assez difficile. Je n’arrivais pas à instaurer un temps de lecture personnel efficace et de qualité : chez moi, le « Chut je lis ! » c’était plutôt le quart d’heure durant lequel je demande le silence en permanence. Très honnêtement, ça m’épuisait pour commencer la deuxième partie de journée et eux ne lisaient, finalement, pas grand chose, voire rien pour certains qui prennent beaucoup de temps à s’installer, choisir une place, un livre etc…etc… Bref, nouvelles envies, nouveau mood, nouveau fonctionnement : vous voulez en savoir plus ? Alors, c’est parti !

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Aïe s’pique l’English !

Objectif de l’année = faire de l’anglais. J’aurais pu dire PLUSsss d’anglais mais comme j’ai pas vraiment commencé l’an dernier ce serait mentir ouvertement à ma communauté (rire !). Oui, bon, c’est pas bien et clairement pas pro de pas en faire, car accessoirement c’est dans le programme de l’Educ’ nationale, mais on a tous notre petite faille hein ?! Donc, voici la mienne ! J’ai du mal à lancer une séance d’anglais, du mal à trouver un créneau ou à respecter celui imposé quand il y figure sur mon emploi du temps… c’est clairement le truc placé en fin de journée car je sais que si retard il y a, mince faut faire sauter l’anglais ! Pas bien encore, certes… Du coup, cette année, j’ai décidé de reprendre les choses en main : faire faire de l’anglais à mes élèves… et rattraper une année de langue non pratiquée (oui, oui j’ai gardé mes anciens élèves, niveau au-dessus !). Bon, j’ai pas eu besoin de trop me remettre à niveau, car c’est du level école, juste à me motiver à parler devant cette foule de petits bambins qui me regardent, sourient et adorent répéter absolument tout ce qui est dit en anglais, même quand c’est pas nécessaire… Je peux pas leur en vouloir car eux, l’anglais, ils adorent vraiment vraiment ça ! C’est limite le moment attendu de la journée ou de la semaine… C’est d’ailleurs une des phrases qui revient le plus, « maîtresse, c’est quand qu’on fait anglais ? » ou encore « maîtresse, ça fait longtemps qu’on n’a pas fait de l’anglais ?! » (question rhétorique !). Rassurez-moi, d’autres sont dans ce cas ?!

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Couvertumisation d’son cahier

J’ai toujours adoré avoir de beaux cahiers, joliment décorés, colorés et customisés. Je me souviens que la collégienne, que j’étais, prenait un malin plaisir à découper, assembler et juxtaposer les images découpées dans de vieux livres pour faire de la première page de mes cahiers quelque chose de chouette et original ! D’où ma folle envie de transmettre cette passion refoulée à mes petits élèves. Je suis convaincue que prendre part à la réalisation de ses cahiers peut être source de motivation : les supports ça donne déjà envie d’apprendre. J’ai donc débuté par le cahier des arts, mais je pense que l’an prochain je ferai la même chose pour le cahier du jour : finalement, c’est celui qu’on ouvre quotidiennement… C’est ainsi mon premier projet arts plastiques de l’année : réaliser la page de garde de son cahier. Je crois que les élèves aiment beaucoup ce moment, ils sont toujours ravis du résultat. Je me suis donc dit que j’allais partager celles déjà réalisées par mes loulous : des idées sont toujours bonnes à garder en mémoire, un jour prochain peut-être que ça pourra servir !

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Et tu dis quoi ? L’étude de la langue.

Et encore une année de lancée… et un nouveau niveau à découvrir ! Comme je suis une grande folle qui adore se lancer des défis quand c’est pas vraiment l’moment, bim bam boum, j’me suis dit  « tiens j’vais tenter le CM1 ! ». Bon, pour tout vous avouer, ça fait plusieurs années que j’ai envie d’essayer le tant redouté cycle 3 (du moins dans mon école !) et d’avoir face à moi des grands loulous en pleine affirmation (un peu c****** quoi, disons les choses !). Et puis, pédagogiquement parlant, j’avais surtout envie d’aller plus loin dans les apprentissages, découvrir de nouvelles notions, proposer de vrais temps d’autonomie, plus efficaces, longs, réfléchis etc… Mais, malgré tout, impossible quand on ne connait pas suffisamment les contenus à enseigner de tout construire et surtout de tester des méthodes jamais utilisées. C’est donc pour cette raison que j’ai préféré suivre celles que je connaissais, aussi bien en français qu’en mathématiques. Cela me permet de me concentrer davantage sur les compétences visées, puisque je connais le fonctionnement des outils choisis. Ainsi, pour une partie de l’étude de la langue, j’ai opté pour la Grammaire au jour le jour de Françoise Picot : je crois que c’est le tome 1 avec pour premier texte « Le chimpanzé » (personne sait vraiment dire par quoi commencer dans cette trilogie !)… Peu importe le tome sélectionné, c’est un grand classique, un indémodable, un intemporel, un « que tout le monde connait ou presque » dans le métier: certes, CQFD ! Ainsi, comme je reste convaincue de son efficacité auprès des élèves et des progrès considérables qu’elle leur permet de réaliser, je n’ai pas trop hésité. Alors GO, c’est parti, on y va ?!

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Ar’bric et de broc

Niveau création, on a tous déjà proposé à nos élèves de dessiner, peindre ou inventer un arbre ! C’est un des thèmes les plus faciles à mettre en oeuvre car il peut évoluer au fil du temps, mois après mois, à chaque saison. On peut donc lancer la consigne quand on veut, d’un jour à l’autre. Personnellement, j’adore en voir sur les murs de ma classe : je suis toujours surprise de découvrir leurs réalisations car les loulous sont très surprenants pour imaginer l’arbre de leur rêve ou concevoir un arbre qu’ils ont aperçu au détour d’un chemin… Il peut donc s’agir d’un élément réaliste ou complètement sorti de leur imagination, tout dépend du moment choisi et des motivations que j’ai à l’instant T ! Mais les créations personnelles sont quand même les plus réussies, les plus surprenantes et amusantes ! Il peut s’agir d’un arbre taille raisonnable ou, au contraire, d’un arbre XXL : car, oui, je n’hésite pas à utiliser « l’espace porte d’entrée de ma classe » pour un effet plus ouah !!! J’ai donc opté aujourd’hui pour un article axé sur les arts plastiques, ça faisait longtemps ! Même si la thématique est la même, les consignes diffèrent, de même que les supports (du grand au petit, de l’imposant au moins encombrant, au gré des envies et des possibilités). J’ai donc eu envie de proposer, ici, un article recensant les consignes ouvertes (c’est ma devise en arts plastiques !) qui permettent un large panel de réalisations, mais qui sont aussi un moyen idéal pour utiliser, manipuler et découvrir des matériaux qu’on emploie peu ou rarement dans sa classe. Vous trouverez donc, ci-dessous, les productions de mes élèves suite à ces diverses consignes de travail énoncées, qui deviennent des contraintes à respecter. Et comme on enseigne avec ce qu’on est, je leur propose les tas de matériaux dont je dispose dans ma classe : j’aime qu’ils en aient à foison à leur disposition ! Vive les caisses, les bacs, les boîtes, les sacs, les coffres et tout ça et tout ça…

Ainsi, la magie opère, la créativité aussi…

Alors, entrez dans la création et ouvrez grand les yeux… Lire la suite

En Mode Citoyens !

EMC, euh mais c’est… compliqué ? Impossible ? Chronophage ? Difficile à enseigner ? Déroutant ? En fait, c’est un peu tout ça à la fois ! C’est une des matières intéressantes, nécessaires, transversales, primordiales etc, etc… mais la question est : comment faire pour mener des séances à bien ? Comment construire une séance qui a du sens et qui intéresse les élèves ? Comment faire pour éviter les questions qui dérangent ? Quoi répondre à celles qu’on n’avait pas anticipées ? Que proposer ? Quel contenu pour quel âge, quelle classe ? Est-ce que c’est pas trop compliqué ? Est-ce que je vais trop loin ? Est-ce le bon mot à employer ? Comment ne pas choquer ? Que mettre en place pour faire réfléchir la classe ? Quels documents utiliser pour mettre les enfants en activité ? Pour moi, l’éducation morale et civique (EMC donc !) c’est un peu tout ça : beaucoup de questions avant, plein d’interrogations pendant et un tas de remises en cause après. Je passe donc énormément de temps à concevoir les activités que je propose aux élèves, aussi bien sur le déroulement de la séance en elle-même que pour la conception des documents sur lesquels ils s’appuient… Car, j’ai beau avoir plein de méthodes clé en main (de toutes les éditions hein !), je n’ai pas encore trouvé celle qui me convient complètement de A à Z… il y a toujours un p’tit truc qui me paraît pas cohérent ou que je ne parviens pas à exploiter pleinement. C’est pourquoi, je préfère, le plus souvent du moins, préparer mes trucs à moi. Bien entendu, tous les supports achetés en ma possession ne sont pas inutiles non plus : au contraire, ils m’inspirent et me font réfléchir à ce que je vais proposer. Alors, bien que ce domaine d’enseignement soit complexe, j’ai tenté plusieurs choses, différents supports et plusieurs manières d’aborder les thèmes travaillés. Vous trouverez donc, ci-dessous, ce que j’ai pu réaliser pour mes élèves : les documents sont adaptables, il me semble, à différents niveaux de classe, je n’en cible donc aucun pour vous laisser la liberté de les utiliser ou non comme vous en aurez envie, ou besoin !

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